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Notre métier

i-SEP ambitionne de devenir le premier laboratoire à commercialiser un système d’autotransfusion peropératoire capable de récupérer à la fois les globules rouges et les plaquettes lors d’interventions chirurgicales hémorragiques, et ce avec un équipement ergonomique et intuitif.
Pour réussir ce challenge, i-SEP travaille en étroite collaboration avec les équipes d’anesthésie-réanimation de référence avec pour missions d’améliorer le bénéfice patient, de simplifier le travail des praticiens et de contribuer à réduire les coûts de santé.

Pourquoi une alternative aux transfusions de sang ?

En France, plus de 500 000 patients sont transfusés chaque année. Acte salvateur et nécessaire, la transfusion sanguine allogène doit néanmoins être raisonnée.
Les transfusions sont notamment utilisées lors d’interventions chirurgicales très hémorragiques ou en situation d’urgence vitale.

Mais les transfusions ne sont pas dénuées de risques.

500 000

C’est le nombre de patients transfusés en France chaque année. Acte salvateur et nécessaire, la transfusion sanguine allogène  doit néanmoins être raisonnée.

60%

Selon le Dr Aryeh Shander, jusqu’à 60% des transfusions allogéniques seraient inappropriées, augmentant les multiples risques. Le recours à l’autotransfusion réduit ces risques et pourra également contribuer à préserver les réserves de produits sanguins de banques.

18 911

Le nombre de déclarations d’hémovigilances auprès de l’HAS en 2018

100%

Tous les risques sont majorés avec la transfusion de plaquettes allogéniques.

5

C’est le nombre maximum de jours de stockage pour les concentrés plaquettaires allogéniques.

X3 à 5

Surcoûts directs et indirects d’acquisition d’une unité de produit de transfusion allogénique VS mise en place de la récupération sanguine peropératoire.

Pour toutes ces raisons, les autorités de santé ou organismes de santé publique recommandent depuis 2010 de limiter la transfusion [1] de sang de donneurs et d’avoir recours à des alternatives telles que l’autotransfusion ou la récupération sanguine peropératoire.

L’Organisation Mondiale de la Santé et le Patient Blood Management promeuvent le recours à l’autotransfusion depuis 2010  à la fois dans l’intérêt du patient mais aussi pour la réduction des coûts de santé.

Depuis 10 ans, de nombreuses études montrent une diminution forte des dépenses de santé en appliquant ces guidelines.

L’autotransfusion ou récupération sanguine peropératoire (RSPO):

L’autotransfusion peropératoire vise à collecter le sang perdu par le patient pendant une chirurgie hémorragique pour le traiter et lui retransfuser à la place ou en complément de sang du donneur (transfusion allogénique).

L’autotransfusion est recommandée pour les interventions chirurgicales hémorragiques ou à risque hémorragique important telles que la chirurgie cardiaque, vasculaire, traumatologique, orthopédique, certaines neurochirurgies, chirurgie de transplantation rénale ou hépatique.

Les limites
de l’autotransfusion par centrifugation

Toutefois, les machines actuelles d’autotransfusion permettent uniquement de restituer les globules rouges du patient. C’est une limite importante car il reste nécessaire d’utiliser des transfusions de plaquettes de donneurs quand l’hémorragie est trop massive.

  • Perte des plaquettes du patient
  • En cas d’hémorragie massive, nécessité de plaquettes
  • Cumul de coûts de procédés de transfusion
  • Equipements complexes, longue courbe d’apprentissage